Un manga Reytac's 2 Rounds au Japon?
Ewing Power Production

Un manga Reytac’s 2 Rounds au Japon ?

Et si la prochaine grande œuvre du manga d’horreur était née… aux États-Unis ? Si cette idée peut surprendre, elle commence pourtant à faire son chemin du côté de Tokyo, où un projet venu d’Hollywood attire l’attention de certains fans éclairés. Son nom : Reytac’s 2 Rounds. Un long-métrage d’épouvante actuellement en production chez Ewing Power Production, signé Mason Ewing, un cinéaste américano-camerounais au parcours hors norme, passionné depuis toujours par le pays du Soleil-Levant.

Mais la nouveauté ne s’arrête pas au cinéma : la saga Reytac se prépare aussi à faire son entrée dans le monde du manga !
Pas tout de suite, certes — le projet est encore en développement et l’équipe prend le temps de bien faire les choses —, mais le créateur  Ewing nourrit une ambition forte : celle de confier l’adaptation de son histoire à un véritable maître japonais du manga, dans une collaboration aussi fidèle qu’exigeante. Pour lui, il ne s’agit pas simplement de « faire un manga », mais de créer une œuvre respectueuse des codes du genre, et qui puisse séduire un public japonais tout en conservant l’ADN de son film, qui sera le premier volet d’une longue saga.

Et ce rêve n’est pas né d’hier. Depuis son enfance, le producteur est un amoureux inconditionnel de l’univers nippon : Dragon Ball, Les Chevaliers du Zodiaque, Nicky Larson, Signé Cat’s Eyes… autant de titres qui l’ont marqué, émerveillé et inspiré. À l’image de Quentin Tarantino, qui rendait hommage à l’animation japonaise dans le mythique passage animé de Kill Bill Vol. 1, Mason entend lui aussi tisser un pont artistique entre ses influences japonaises et son propre univers cinématographique. Le film Reytac’s 2 Rounds sera d’ailleurs truffé de références visuelles qui parleront aux initiés…

Mais ce n’est que le début. Car Reytac, ce n’est pas seulement un film, ni même une simple histoire d’horreur. C’est un véritable univers narratif, riche, sombre et fascinant, qui s’étend sur plusieurs générations. La ville de Reytac aurait vu le jour en 1823, et les archives autour d’elle sont d’une densité telle qu’elles pourraient nourrir des dizaines d’arcs narratifs différents. En cela, l’ambition de la saga se rapproche de celle des grands shōnen ou seinen japonais, où chaque détail compte, chaque personnage a son passé, et chaque lieu, son mystère.

Le manga, lorsqu’il verra le jour, sera donc pensé pour explorer toutes ces facettes, arc après arc, mystère après mystère, dans une structure proche de celle de grands titres comme Death Note, Tokyo Ghoul ou encore Parasyte. Et bien sûr, Gwendolyn Porter, la fillette au destin tragique qui hante la gare de Reytac, devrait figurer parmi les figures centrales du manga, avec son esthétique aussi étrange qu’effrayante, notamment avec son visage arraché…

De plus, ce manga aura pour protagoniste les acteurs de la saga, une nouvelle génération de comédiens, tous remarquables par leur talent, leur charisme et leur énergie. Parmi eux, on retrouvera Louis Lopez, 21 ans, un jeune acteur prometteur au regard intense avec ses yeux vairon, qui incarnera Tim. À ses côtés, Al-Amin Juma, d’origine américaine, incarnera Cooper, tandis que Zacharie Malek, 25 ans, donnera vie au mystérieux Johnny. Baba Wild, 28 ans, alias Chris, apportera du suspense avec son personnage de Chris, tandis que Eric April, 26 ans, se démarquera dans le rôle de Cameron. Cerise sur le gâteau : deux légendes hollywoodiennes rejoignent cette aventure inoubliable. Eric Roberts, figure emblématique du cinéma américain, et Calista Carradine, actrice charismatique au parcours riche, apporteront leur expérience et leur aura à ce projet déjà très attendu. Une fusion explosive entre la jeunesse montante et les piliers du grand écran, le tout dans une bande dessinée japonaise.

Parallèlement, la Mason Ewing Corporation envisage également d’ouvrir une filiale au Japon, preuve de l’amour profond que porte son fondateur à ce pays. Pour lui, le Japon n’est pas seulement une source d’inspiration artistique, c’est un partenaire de cœur. Cette implantation permettrait de faciliter les collaborations locales, notamment dans les domaines du manga, de l’animation, mais aussi des jeux vidéo.

Car oui, un jeu vidéo immersif dans l’univers de Reytac est aussi l’un des projets de la holding. Mais chaque chose en son temps. Pour le moment, les fondations se posent… avec passion, respect, et une volonté de créer quelque chose de grand.
Alors, amis japonais, amoureux de frissons et de récits hantés, ouvrez l’œil : Reytac arrive.
Et quand la lumière s’éteindra… serez-vous prêts à plonger dans l’ombre avec nous ?

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